Dis, te souviens-tu de ton enfance, pendant que le loup........
Justine B 10
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Justine B
Dans la solitude de l'atelier, la main parfois réussit à poser ce que dans les nuits de l'artiste , l''imagination a souvent ébauché. Quand , enfin l'oeuvre est achevée, il faut pour la faire vivre, votre regard, votre émotion. Alors ce blog prend son sens
Justine B 10
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Depuis :
06/09/2014
Categorie :
Mode, Art & Design
Articles à découvrir
Que ta voix à travers les portes et les murs me trouve enfin dans ma chambre, caché par la poésie, o enfant qui es mon enfant, toi qui as l'étonnement de la corbeille peu à peu garnie de fleurs et d'herbes odorantes quand elle se croyait oubliée dans un coin, et tu regardes de mon côté comme en pleine forêt l'écriteau qui montre les route
Et croire toujours aux contes jouer à saute lapins huile sur toile , feuilles d'or 150x100
Les petis messagers huile sur toile, feuilles d'or 100x100
C'est une de ces journées belles, comme je les aime. un bleu pur dans le ciel, le soleil juste assez généreux pour illuminer cette campagne varoise que j'aime tant, mais pas trop pour n'avoir pas brûlé l'herbe restée verte. ah, le vert, le peintre que je suis a toujours eu du mal avec lui, mais l'amoureuse de la nature l'aime beaucoup. passé
Blotti sous les branches d'un mélia, l'atelier. dans cette solitude heureuse, devant mon chevalet le chant d'un oiseau souvent m'accompagne. le chant de l'oiseau huile sur toile, feuilles d'or 80x80 détail détail détail
De ce chaume heureux possesseur, de bon cœur, hélas ! que j'envie tes travaux, ta philosophie, ta solitude et ton bonheur ! pour prix des soins que tu leur donnes, tes arbustes reconnaissants et des printemps et des automnes te prodiguent les doux présents. ô trop heureux qui peut connaître la jouissance de cueillir le fruit que ses soins font
C'était l'heure où d'aimables fées apportent dans leurs blanches mains riches colliers, brillants trophées au triste séjour des humains ; c'était l'heure où, plus amoureuses, murmurant des mots nonchalants, les odalisques langoureuses fleurent d'ennui sur leurs bras blancs. ce fut l'heure où je vis en songe l'ange aux yeux noirs que j'aime
Abondance huile sur toile, feuilles d'or 100x80
Ici-bas tous les lilas meurent, tous les chants des oiseaux sont courts ; je rêve aux étés qui demeurent toujours... ici-bas les lèvres effleurent sans rien laisser de leur velours ; je rêve aux baisers qui demeurent toujours... ici-bas tous les hommes pleurent leurs amitiés ou leurs amours ; je rêve aux couples qui demeurent toujours... ren