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Aphrovache

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Le Manoir de Prosper - Roman feuilleton.

Emilie, écrivain et amatrice d'urbex, visite un manoir abandonné qui la mènera dans une enquête sur un meurtre qui date de plus de cent ans. Quels secrets cachent les fantômes qui hantent la vieille demeure?
Aphrovache Aphrovache
Articles : 6
Depuis : 05/12/2016
Categorie : Littérature, BD & Poésie

Articles à découvrir

V

A l’intérieur du cabinet, emilie retrouva tout le mobilier qu’elle avait connu dans lorsqu’elle consultait la psychologue chaque semaine. le fauteuil tapissé de tissus aux couleurs chaudes dans lequel mme hoffmann s’installait, le divan sur lequel elle-même s’était à maintes reprises assise ou étendue, crispée, confessée, confiée
III

Iii

Le vent et la pluie s’abattaient avec toute la violence et le désespoir de l’automne sur les vitres de la petite maison d’emilie et celle-ci referma avec humeur un par un tous les onglets de son navigateur internet. concentre-toi, concentre-toi bordel ! se morigéna-t-elle. elle s’était installée à son bureau ce matin-là avec la ferme
I

I

Emilie sentait l’ennui monter en elle comme le mercure d’un thermomètre lorsque l’on est fiévreux. elle sentait aussi poindre dans le brouillard diffus de son oisiveté ce besoin d’aventure qui se manifestait parfois quand son quotidien se faisait trop fade et trop plat. depuis combien de temps n’avait-elle pas mis le nez dehors ? elle
Avertissement.

Avertissement.

Note du 24/02/2017 : je n'oublie pas mon projet, mais j'avance moins vite que prévu, la vie, tout simplement, qui suit son cours et fait passer autre chose avant ce que l'on a en tête. merci à celles et ceux qui me suivent malgré tout :) je publie ici un roman en cours d'écriture, un peu comme les feuilletons qui paraissaient chaque semaine da
II

Ii

Violette jeta un dernier coup d’œil dans le petit garni [1] qu’elle avait occupée ces trois dernières années, à la tapisserie défraîchie, jaunie par endroit, noircie à d’autres par les fumées du poêle, chichement éclairée par une petite fenêtre aux carreaux barbouillés de suie qui donnait sur la cour humide, sombre et malodorant

Iv

Depuis les quelques jours qu’elle était arrivée chez les bauval, violette avait fait connaissance avec le rythme de la maisonnée, mais surtout celle de célestine, la cuisinière, avec qui elle passait le plus clair de son temps : on aurait aussi bien pu lui verser des gages d’aide de cuisine ! a 6h, jeanne, la bonne, sortait de sa chambre e