Les grandes pierres ont leur histoire les grandes villes ont leur mémoire les grands hommes gagnent la gloire mais qu'en est-il des petites gens ? les grands soleils vivent de jour les jolies filles vivent d'amour et le gentilhomme aime toujours mais qu'en est-il des petites gens ? la brise passe douce et légère les nuages se gorgent de lumière
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Les écrits d'Allan Kartner
Écrire juste pour écrire comme un oiseau qui vole juste pour voler.
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12/02/2020
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
La poésie qui, aujourd'hui, peut se prévaloir d'être poète ? le vent, sans nul doute. suis-je alors une petite brise marine ou une tempête sur l'océan ? a bien y songer, rêveur que je suis, je pencherais plutôt vers l'éphémère nostalgie de l'instant. sachez que mes écrits, si tant est je les sortent du tiroir, ont pour la plupart l'odeu
Une vie de poesie il est, croyez-moi, un lieux fort incroyable qui fait de certains en tirer quelques fables envahissant chaque jour leur moindre pensée nourrissant ainsi, leurs cauchemards insensés etrangement comme aux branches d'un chêne a l'automne gracieux les feuilles se peinent au bout de leur âme, s'en vient balancer la musique des mots
Le poète on dit le poète différent et du matériel un indigent la gent en la matière a raison car il ne vit que de passion celle d'aimer sans même cesser celle de lire dans ses pensées celle de voir dans les roses outre la beauté, d'autres choses on le dit éloigné du monde et des vagues n'être que l'onde le poète est sensible au bonheur
Bonheur et divagations dans les flaques d'eaux la mer se mire. quelques gouttes de pluie s'immiscent, se glissent, se fondent au cœur des vagues malicieuses. un doux clapotis frôle le silence trompeur. ma mission de rendre plus aimable le brouillard qui nous submerge ne fait pas pour autant de moi un poète, ni le saltimbanque au chapeau mou qui
Un homme s'est couché, les mains, les pieds gelés, la terre s'est enneigée la ville est morte. un homme abandonné, le coeur, le corps brisés, le ciel s'est effondré, la ville est morte. personne ne l'a vu, au milieu de la rue, ses bras, sa tête nus, la ville est morte. un homme dans le noir, gisant sur le trottoir, un parfum d'encensoir, der
Plus le temps passe, ma jeunesse, file et s'efface, la vieillesse, vient et s'installe, doucement, vient et s'étale, en cheveux blancs. plus le temps glisse, ma jeunesse, adieu délices la vieillesse, folle se pose, simplement, plus une rose, dans le printemps. plus le temps roule, ma jeunesse, mes yeux qui coulent, la vieillesse, vient et m'emmè
J'aime ces velours de pourpre enivrés que la maison grandjean, ce matin, m'a livrés je les savais fort beaux mais pas aussi magnifiques d’un rouge éclatant, intense, joyeux, romantiques. ils ont belles allures sans même une poussière, ou un fil dépassant des coutures aux arrières, j'aurais pu douter de la façon, du travail, mon voisin pre