J'ai descendu dans mon jardinpour y cueillir un brin de thym,et dans mes mains comme un écrin,cette douce rose que j'aime bien... ...de mon petit jardin !

Dernière récolte de notre mâche avant la préparation du potager "édition 2010". un délice vitaminée à coeur ! la bêche est prête...on attend juste un peu plus de soleil !

En passant dans le var,j'ai eu envie de m'y poser... l'espace d'un instant fraîcheur,l'espace d'un moment bonheur !

Trop besoins des fleurs, de leurs couleurs,de leur lumière et de leur tendresse !ah, le langage des fleurs, qu'il nous est bon,qu'il nous est doux ! et leur parfum ! pour oublier un peu ce trop de pluie et ce trop de froid !

Elles espèrent...patientes... mais ne sauraient en aucun cas désespérer !

Lors d'un petit tour en forêt noire, visite au musée de l'horlogerie de furtwangen...(à voir absolument !) impossible du moindre retard...ce seraitimpardonnable ! petite pause tic-tac entre copines... allez, circulez ! c'est sérieux, faut pas rigoler ! inspiration new york ? allez, c'est fini, on réemballe... alors coucou et à bientôt !

Eh oui, le voici le voilà,mon pin rêvé depuis quelques temps déjàs'est posé dans notre...jardinet !il n'y a plus qu'à espérer que maître soleillui offrira ses sourires les plus radieux. petit pin deviendra grand si...

Bonne visite sur cette nouvelle boutique déco en ligne! www.lessouriscreatives.com

Hou là là...on pourrait penser que je conjugue le verbe flegmer à tous les temps (même ceux qui n'existent pas),mais non, mais non, point n'en faut,c'est la faute au temps qui passe trop viteou qui passe trop chaud... il y a 2 semaines à aix en provence,petite épicerie comme je les affectionne. puis petit détour par bormes les mimosas...

Je ne voudrais pas me défiler,mais il est vrai que le temps file si viteque comme le temps perdu d'avance ne se rattrape guère et que je n'aime paslaisser une page trop sage, je ne vois qu'une chose...le temps d'une pause s'impose. merci de vos petits mots que j'ai toujours découverts avec beaucoup d'émotion et de plaisir, ils restent toujours