L’arche des nantis... ils vont finir par nous avoir avec leurs "conneries pandémiques", nous foutre les flubes, nous lobotomiser le peu de neurones qui nous reste, nous scléroser la pensée, nous atrophier le bulbe rachidien, les sots ! je parle de "seuss" qui veulent être les califes à la place du calife, les "bilderberg's" et autres grands
deydet
deydet
Ses blogs
Articles :
8
Depuis :
01/02/2010
Categorie :
Humour
Articles à découvrir
Le goéland le vieil homme tourna la tête vers la jeune femme en blanc, joli brin de fleur se dit-il ,p uis il revint à ses pensées, des souvenirs, les siens, ceux de sa jeunesse, de son métier, celui de pêcheur de crabes, quelle ironie du sort ! il devait se venger, maintenant, le crustacé en dévorant son corps… il s’était toujours dem
Les larmes du soleil devant tant de bonheur, tant de grandeur, immensément belle, elle rugit comme un fauve et vient mourir à mes pieds comme pour me faire revivre.je suis là dit-elle, n’aie pas peur de la vie comme tu n’as pas peur de la mort, laisse moi prendre soin de toi, regarde moi dans le bleu de mon écume, y vois-tu : le noir de l
Les quatre saisons d'un gastéropode l'hiver tu te gèles les spermatos et même des fois les zoides, obligé de te dépioter popol à la pince a épiler, la bête s'est endormie, le missile à tête chercheuse s'est transformé en gastéropode sans coquille, une limace , que quand tu fais un ti pipi, tu as un gland caché sous dix huit centimètre
Les peuples d’argile petit enfant doucement meurt de faim, surtout pas de « bruit »… mange tes galettes de terre, un peu d’eau et d’argile un créateur t’a parait-il créé dans la même matière, un dieu t’a modelé mais t’a fait noir de peau un être suprême qui a oublié un service après vente de tes terres africaines où tu na
Le tiroir un vieux meuble tout vermoulu laissé là, à l’abandon, dans un grenier avec pour seul décor des toiles d’araignées savamment tissées, un tiroir sans clé où une vieille poignée en bronze pend, inutile ; des souvenirs gisent épars sur un fond de planche de noisetier désasjusté par le temps.une lettre d’amour à l’encre d
Une journée ensemble, ou la fête d’un con... un petit lever matinal comme nous nous les faisons, tranquille, un quatorze février, je crois, je ne sais plus, des trous de mémoire, sûrement, il y a des dates comme ça que tu as appris à zapper de ta mémoire, la fête des je ne sais plus quoi, moi, vous savez les dates... bon, j’arrête mes
Jolie corolle verte qui au gré des vagues telle un nénuphar sur un étang d’un tableau de monet,le grand peintre, emporté par le ressac, rouleaux et autres éléments déchaînés, d’une mer du même qualificatif, voilà ma nana se débattant contre les flots dans sa burka verte fluo… bein, oui ! ,je vous raconte avant que des petits fût