Au cœur de la tourmente , je porte souvent mes pas vers un sommet voisin , de ma nouvelle exile, souvent j’y songe d’y cacher les débris de ma vie. c’est un sommet surélevé au dessus de la méditérannée, révélant toute la splendeur et la défaillance du monde. un silence surplomb cette vaste étendu, rien ne peut y être écouté , ri
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Ses blogs
Les racines du temps
[...Tous mes souvenirs
Te gardent près de moi
Dans les instants silencieux
J'imagine que tu es là
Tous mes souvenirs
Rendent ton existence réel
Bien plus que des murmures silencieux ...]
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13
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25/02/2009
Categorie :
Lifestyle
Articles à découvrir
Le temps passe vite , trop vite. le temps ne s’arrête pas , il avance sens tracas, le temps n’attends personne. il suffit de s’attarder l’espace d’un instant , pour devenir spectateur de notre vie. j’ai été a mon tour spectatrice , je n’étais plus l’acteur principale , seulement le monologue. je ne suis jamais vraiment sortie de
C e matin d’avril , cette journée et dire qu’il y a un an , tu partais. l’espoir me délaissait depuis ce jour. ton souvenir s’ombrait peu à peu avec réticence dans l’oubli. je faisais acte de présence , mais mon cœur était ailleurs . parti loin là-bas avec toi. je ne prêtais plus attention aux champs des oiseaux , aux fleurs qui
Il m’arrive d’être habituée à ton absence. je ne me réveille plus avec cette boule dans l’estomac, ni ces cris aigus que je projetais chaque matin, où ils m’annonçaient et me répétaient la nouvelle de ton départ. j’ai recommencé à penser au temps qu’il y a dehors, au livre que j’envisage de lire, aux choses qu’il faudra a
[...iv...] c’était un samedi ,précisément le 26 avril 2008, je suis partie, en sachant ce qui allait en devenir. je venais en quelque sorte de te quitter pour toujours. quelques heures après tu ne serais plus là , ton prés serait vide , mais je suis partie. cette vision de toi en train de me regarder, fraîchement mouillé de la sueur laiss
Je marche le long de cette rue , pour prendre le train et aller au lycée comme tout les matins. c’est le mois de mars, les premiers bourgeons apparaissent , une douce brise caresse mon visage , et je respire à plain nez. mais quelque chose à changé. ce n’est pas la douceur de l’air , ni le changement de saison , ce ne sont pas les quais d
Dédier à tout les gens qui mon soutenu et qui m'ont encourageais à ne pas baisser les bras,à ma mere qui m'a été toujours d'un grand secour dans mes moments de crise,à laure pour son appuis , et ses encouragements pour mon écriture . . . et à rhéa , qui m'a fait gouter à un amour dont plus d'un serait prés à tuer . . .
[...vii...] je me réveille encore , je continue de faire les gestes nécessaire à ma survie, ma respiration est encore heurtée , mais je respire. je souris , parle , discute , et pourtant je suis lâche. lâche de donner un mensonge , de faire croire qui j’ai tourné cette page , qui pourtant est encore inscrite dans ce qui reste de mon cœur.
[...vi...] quelques semaines plus tard , je voulu revenir à l’endroit où je t’avais laissé pour la dernière fois. je voulais revoir ce prés en espérant qu’il pourrait subsister une trace de toi, en vin. j’ai marché longtemps le long de ce chemin , en te cherchant inconsciemment des yeux. pendant les rares instants où mon esprit tent
C’était un matin d’avril, je ne m‘étais pas assoupi pendant la nuit , réfléchissant à ce que j’allais endurer après ton départ. je me préparais comme chaque matin , comme pour aller te rejoindre. seulement ce matin là , tout à changé. je me rendais chez sarah , celle qui , dans le passé nous avez accompagné dans nos sorties. en