"el greco und die moderne", kunstpalast, düsseldorf, jusqu'au 12 août 2012 il semble bien que non seulement l'on n'en finisse pas de redécouvrir le maître tolédan, tombé dans l'oubli à sa mort en 1614, mais surtout que notre regard sur son oeuvre reste imprégné par la perception de ceux qui le tirèrent de ce purgatoire au tournant des xix