La chaleur de l'été arrivait et loula cherchait un amant. l'idée des caresses moites étaient comme une source de plaisir qui dégoulinait le long de son corps. elle imaginait ses pas le long du quai, le figuier unique regardait l'horizon, il sentait bon. le vent était doux et la lumière rousse. les cliquetis des cordages contre les mâts batt
Apaloula
Apaloula
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09/07/2011
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Lifestyle
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C'était la première fois qu'elle voyait un chat mort, tout rond, tout gonflé. cela lui parut primitif. le soleil frappait, elle n'avait pas l'habitude, elle était seule marchant sur la route à coté du trottoir. c'était une route mais il y avait un trottoir. primitif et civilisé, contraste indécent à son éducation qui devait être dépass
Idylles désordonnées effacer les amants pour n’en garder qu’un. illusions bercées. reprendre gout à la vie et chercher ses yeux sous la mèche rebelle. ne voir que l’opportunisme d’un instant dérobé après une crème glacée. provoquer les mots et récolter les miettes ordurières. glorifier une image et croire à l’innocence. cél
Clairette était proprette. elle habitait rue rambuteau au rez de chaussée d'un immeuble de famille où sa chambrette donnait sur une courette claire.la glycine courait sur la grille de la rue comme un rideau à fleurs qu'on tend aux beaux jours. les marchands des quatre saisons aimaient s'installer sur la rue de l'autre coté de cette tenture, la
La chaleur de l'été accablait l'air ambiant et loula attendait son amant. le téléphone avait vibré et le message s'était inscrit en majuscules : " dans une heure je suis la". elle finissait son croissant, ses lèvres burent le thé au jasmin. souriante, elle se sentait confiante, ses mots lui avaient plu alors que son visage lui était inconn
Monique fermait les yeux dans le train. elle portait sa jupette écossaise à la dernière mode. le rythme berçant, la faisait divaguer. il s'approcha d'elle, lui mit la main sur l'épaule et lui dit : "je vous trouve tellement désirable" . monique ouvrit les yeux et se dit : " non là t'exagères ma fille.... on ne voit ça que dans les films !
Paulette était replète. elle exerçait son métier de concierge au 28 rue oberkampf. le corridor d'entrée de son immeuble était étroit et délabré. une ambiance lugubre et moisie s'en dégageait. une porte dérobée sous l'escalier menait à l'arrière cour.elle devait rentrer le ventre pour se faufiler entre le mur et la rampe, et atteindre