Ce jour-là dans un immeuble parisien de la haute bourgeoisie intellectuelle sophie du plantier dite madamedu est dans les derniers préparatifs du dîner aidée de sa bonne sonia. quatorze convives sont prévus autour de la table. pour madamedu tout doit être parfait, le couvert est dressé au cordeau, le plan de table est étudié à la loupe, l
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Des Livres et des Paillettes
Depuis 2014, suite à ma participation au prix ELLE, à chaque lecture ou presque je publie un article pour partager avec vous mon ressenti, mes émotions et mes préférences.
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22/08/2014
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
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« j’avais ouvert la grille et ça personne ne pourra l’effacer » depuis vingt ans la narratrice olive (qui est aussi l’auteure) est hantée par ce moment douloureux, ce drame qui a bouleversé sa vie, un drame qu’elle n’a pas su éviter, un drame dont elle se sent responsable et coupable. olive et david jumeaux âgés de dix ans habiten
A partir d’un fait réel survenu en novembre 2021, le naufrage d’un bateau de migrants dans la manche qui a fait 27 victimes, l’auteur analyse le déroulé des appels émis par les migrants et les réponses faites par l’opératrice. une enquête policière est ouverte. c’est l’opératrice qui est la narratrice de ce roman. c’est elle
En refermant ce roman je me dis : « dommage j’aurais pu aimer ce livre sans restriction » mais voilà jean- paul dubois a parsemé ce texte de mots trop intellectuels et de références à des histoires de l’antiquité peu connues et ennuyeuses. mais le scénario est original surprenant et en survolant les passages ennuyeux j’ai réussi à
Adam, le narrateur habite dans une tour de la banlieue londonienne nommée l’eden, immeuble classé monument historique mais où habitent les déshérités les étrangers et où se lit la misère, il n’y a que le nom qui fait rêver. il y vit avec sa petite sœur laureen et l’autre, l’autre c’est son père un homme violent alcoolique et p
J’aime l’écriture de philippe besson délicate douce et si sensible. j’aime son analyse simple claire et précise. j’aime comment il s’empare d’un sujet et comment il va au fond des choses. j’aime son souci du détail. j’aime le choix des mots simples. j’aime comment d’une histoire banale il sait la faire nôtre. j’aime comme
Joan a sept ans quand à la télé ils annoncent qu’un attentat vient d’être commis dans le sous-sol d’un immeuble à new-york. aussitôt sa grand-mère lui annonce qu’il va falloir changer de nom de prénom de ville, disparaitre et surtout ne jamais révéler leur secret. joan ne comprend pas très bien pourquoi. elle s’appelle dorénav
Ce que dit la quatrième de couverture en guadeloupe, les toussotements de la soufrière font partie du quotidien des habitants de la basse-terre. mais en ce mémorable mois de juillet 1976, les explosions s'intensifient, les cendres recouvrent impitoyablement la végétation et beaucoup se résignent à partir en grande-terre. au coeur de cette sa
Dès les premières pages je me suis assise avec le narrateur ou la narratrice sur la terrasse de cet hôtel au milieu de tous ces inconnus et je me suis laissé bercer par la douce et chaude ambiance de ce début d’été. dès les premières pages je pensais que c’était une narratrice et puis surprise à la page 50 j’apprends que c’est un
Joseph est né en 1919 et devient très vite orphelin, en effet son père est rentré de la guerre malade et meurt juste après sa naissance. entouré d’une maman joyeuse et d’une grand-mère affectueuse ses premières années sont heureuses malgré la pauvreté qui règne dans ces quartiers parisiens. sa maman est plumassière un métier qui f