Il est temps maintenant de revenir. il est temps d'aimer. la vie m'a rendu au centuple tout ce que je croyais qu'elle m'avait retiré. la vie, plus forte que tout, revenue d'abord lentement, au pas lointain que je n'osais pas identifier, puis au petit trot, légère et rapide comme une brise de printemps, enfin, déboulant dans le tournant au galop
Val M
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Marley et moi
"Il n'y a pas de secrets aussi intimes que ceux d'un cavalier et de son cheval." Robert S. Surtees
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07/05/2012
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Environnement & Bio
Articles à découvrir
Marley et moi vous souhaitons de très belles fêtes de fin d'année et plein de beaux moments à cheval et dans la vie...
Quelques jours hors du temps, suspendus dans un espace préservé, mon coeur qui se rassemble, puis se disloque, s'éparpille, se retrouve à nouveau, entre une percée de soleil dans le ciel gris et pâle d'un hiver normand que je découvre et retrouve à la fois c'est étrange, mon coeur baigné de larmes au jour du départ, le bonheur d'être ic
Impossible n'est pas français, dit-on. photo : 123rf
Dans la nuit sans fin simplement traversée, ponctuellement, comme par les saccades des mitrailles et par intermittences, par un soleil vivant, vibrant, seul capable d'éteindre cette nuit atroce, ne le porte-t-elle pas sur la peau, inscrit dans sa chair, alors pourquoi la nuit s'acharne-t-elle ainsi se dit-elle... et c'est un autre mais le soleil
Parce que la vie finit toujours par triompher.
Découverte d'un peintre du siècle dernier, dont les représentations équestres m'ont séduite... eugène leliepvre me semble en effet peu connu, et cependant ses oeuvres de cavalerie sont d'une finesse et d'un réalisme frappants, les couleurs claquent comme les étendards, le mouvement est insaisissable et pourtant saisi d'un trait, les chevaux
Malgré la fatigue des combats, les nuits courtes, traversées de cauchemars, le bruit des obus quelque part à l'autre bout du monde mais si près de son coeur, elle a fini par s'endormir. elle montait son beau cheval noir, à la place de son épée c'était un sabre qu'elle tenait, elle galopait vers quelque chose de lointain et de proche à la f
Je n'ai pu écrire depuis de longues semaines, les soucis m'éloignent de tout ce que j'aime. heureusement il y a dans mon coeur des images vivantes, comme celles qui sont nées lors de week-end de la toussaint où j'ai retrouvé marley au haras du cercle, dans ce coin de calvados que j'aime tant, et où je me dis que je vivrai un jour certainement
C'est fini, je suis seule désormais. il me reste mon marley, ma puce, mes armes, mes larmes, mon âme noyée dans la peine, ce soir je monte à cheval, rien n'a plus d'importance que ces quelques instants de vérité où mes larmes sècheront dans le vent glacé d'hiver. doucement mais avec précision et méthode, je cisaille les amarres pour que