A envisager

J'en ai ras le rectum. pour relâcher un peu la pression (j'aime autant vous dire que la métaphore ci-dessus est toujours d'actualité, alors ne vous étonnez pas si ce que vous lisez vous évoque de vieux relents excrémentiels), je vais vous parler des films.de ceux qu'on se fait. enfin, ceux que je me fait... parce qu'à force de pas savoir ce

Intéressons-nous aujourd'hui à la cause d'un mal récurent que tout individu banalement constitué à certainement subit à maintes reprises dans sa vie : "le manque d'une réplique qui tue", aussi nommé : "lacune argumentative". les symptômes sont toujours les même : des affirmations parviennent à vos oreilles, vous voulez y répondre quelqu

Ah ah ah ! un jeune chien fou flairant la promesse d'une saillie ! il jappe la queue entre les jambes désormais.

Ce sont des ronces vivaces et acérées, et cela n'a rien à voir.

Un conte : une morale où que porte notre regard c'est le noir c'est la nuit tout autour de nous n'est que crépitements la pluie sur les feuilles la vermine sous les feuilles le ruisseau qui gargouille nos pieds nus s'enfoncent dans l'humus spongieux nos orteils grouillent de notre nuque, martelée cascadent le long de notre échine des gouttes gl

J'aime écrire.j'aime structurer, pourtant j'ai des lacunes.je n'ai pas été formé à une méthode permettant de structurer un récit de façon à le rendre compréhensible.ainsi, lorsqu'une idée me traverse l'esprit, l'envie me viens de l'exprimer.lorsque je m'apprête à le faire, le sentiment qui m'envahit, c'est la gaucherie. j'ai le sentime

Vivaldi - concerto pour mandoline

Quelle maîtrise ! quelle constance !et même dans une situation qui s'est déroulé comme un ralentit !je l'ai vu arriver : j'ai eu un million d'interminables secondes pour intervenir. mais non ! fidèle au poste, j'ai bien fermé ma gueule ! bravo !oh ! restons modeste, ma maigre performance ne constitue sans doute pas un record... mais tout de m

J'éprouve le besoin d'écrire proportionnellement à l'intensité de mon sentiment de n'avoir rien à dire.de la même façon, j'accorde un soin particulier à la rédaction de pensées dénuées de substance ; j'exprime rarement (lorsque je prend cette peine) les idées élaborées qui me passent par la tête avec la sophistication qui leur est d