Sous les néonsles mêmes plaisanteries chaque jour -la serveuse s'ennuie @ un haïku par jour / thème du 18 février 2015 : "néon" @ h aïku, création littéraire, poème court, poésie courte, haiku
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Journal de création musicale et littéraire de Jean-Paul Renoux. Publication de textes de chansons et de nouvelles. Carnet d'auteur au jour le jour.
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Depuis :
04/09/2010
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
Jean s'approcha de deux petites scènes, reliées par un podium comme ceux des défilés de mode. des musiciens s'y livraient une bataille d’improvisation bon enfant. un violoncelliste tenait son instrument comme une guitare, et, riant aux éclats, jouait un solo de jimmy page dans un morceau de led zeppelin, peut-être since i've been loving you
Sur une longue terrasse en surplomb des deux scènes, un jeune homme, barbe noire et manches retroussées sur des biceps impressionnants, lança une rythmique funky, super-posant des pistes enregistrées sur son ordinateur, dont la pomme croquée brillait sur la table de mixage. derrière les grandes fenêtres ouvertes, des moulures complexes dessi
Juste pour voir si c'est encore là, une nouvelle... la_crois_e_des_chemins_2015
Miss s. (extrait) jean et clemente étaient silencieux comme dans une chapelle. ils entrèrent dans une pièce perpendiculaire à la précédente, qui en avait les mêmes proportions. un homme à la peau mat – mexicain, sans doute – tentait de déchirer avec les dents un flux de triangles verts qui traversait sa tête énorme, entrant par une o
Son nez heurte son genou -le sang dans la neigeécrit déjà une autre histoire @ un haïku par jour / thème du 17 février 2015 : "saignement de nez" @ h aïku, création littéraire, poème court, poésie courte, haiku
La fille aux yeux trop verts une fille aux grands yeux verts vient à passer par là elle s'arrête un peu elle soupire beaucoup ses yeux sont trop verts ses yeux sont trop grands les larmes n'y tiennent plus il faudrait mieux l'écouter ses chagrins de cristal et de parfums perdus rien de grave rien de terrible la vie quoi a grands pas elle s'en v
Clemente amena jean au deuxième étage. cette petite terrasse était un point culminant de la ville. la grande villa brune était en contrebas. ses tours crénelées ne montaient pas si haut. les toits de tuiles des mille et une maisonnettes de porto étaient à leurs pieds. dans le lointain, quelques tours d'habitation. et le ciel. et les nuages.
@ brett st clair et dany wilde