« ici, je suis en sécurité. personne ne peut me trouver, pas même ce type croisé devant les portes du rio. qui à la surface, pourrait imaginer que des hommes ont choisi de vivre à plus de huit mètres sous terre dans des galeries souterraines ? boyaux qui se déploient sur des dizaines et des dizaines de kilomètres sous l’aéroport. » el
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Le blog du petit carré jaune
" Les vrais gourmands lisent en remuent les lèvres pour déguster les mots "
Yvan AUDOUARD
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26/03/2013
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Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
Thomas vinau - ferme ta gueule s'il te plait je suis en train de t'écrire un beau poème d'amour
« tu ranges je dérange on s’arrange » des fois on ne sait pas pourquoi on n’y arrive plus. plus de jus, plus de dynamo pour éclairer au loin comme au près, plus de lampe frontale, la lumière s’épuise. le carburant est mort, le café se disperse, le thé se renverse. plus d’envie, plus de grâce, plus de mots qui se surlignent, se gli
« il y a le souvenir, il y a la mémoire. restent des traces. il y a les taches qui reviennent au bout des doigts. il y a les amis, au coin d’une pensée qui, tant mieux ne s’efface pas. il y a le journal. a moins que charlie hebdo n’ait été bien plus que quelques feuilles de papier. il y a le métier que l’on a appris là-bas avec eux e
« il y a des choses qui me dépassent dans ce monde. comment des parents peuvent en vouloir à leur enfant d’être différent ? c’est une richesse, la différence. c’est ce qu’on devrait enseigner à l´école. le problème des adultes, c’est qu’ils sont ratatinés. ils ne savent plus se hisser à hauteur d’enfant... » il y a des re
Les 68 premières fois , ces premiers romans qui nous procurent tant de frissons, de découvertes d’un auteur, d’une plume, d’une histoire. ce quelque chose d’impalpable car nouveau, novateur pour certains. ce quelque chose qui va plus loin même que la littérature, qui procure des frissons lors des rencontres, des émerveillements et des
Le 26 mars 2013, j'ai pris mon courage a deux mains et je me suis lancée dans l'aventure d'un blog (bon il faut dire que je venais de rencontrer 2 fées devenues des amies très précieuses et des anges un peu, beaucoup démons aussi avec qui j'aime buller). donc il y a 6 ans je ne me doutais absolument pas où je mettais les pieds, ni les mains e
« ce matin là, des dizaines de millions de coccinelles asiatiques se sont posées sur les routes. les champs sont devenus vivants, ondulant au rythme des bestioles rougeâtres. en une minute, les insectes ont complètement recouvert les arbres de la ville, leurs branches semblables à de la chair à vif, saignant une sève mouchetée de noir. »
Difficile de ne pas avoir envie de vous souhaiter un joyeux noël sans vous parler de cet été jaune carré. je ne sais comment parler de cet élan de générosité offert, ce temps où j’ai ouvert le blog à d’autres plumes, des écrivains, auteurs, poètes, des amis, ceux qui m’enchantent, me protègent, m’interrogent, me font rire, pleu
« lu 1/6 ne pas être affolée parce qu’il y a plein de monde au supermarché appuyer pour la première fois sur le bouton « on » du programmateur lire un livre étrange d’un auteur étranger qui a une pensée et une culture différentes mar 2 voir les 4 enfants des vacanciers d’à côté, qui dorment côte à côte à la belle étoile, se
« c’était un bel après-midi d fin d’automne. un froid sec venait griffer les bonnes joues de taupe. il n’avait jamais vu la campagne ainsi. il avait l’impression de découvrir des choses. les vallons, les taillis, jusqu’ici si secret lui offraient alors leur intimité les plus cachée. plus questions de colliers de liserons, ni de maqu