Déluge d'henry bauchau actes sud, mars 2010170 pages il y a quelque chose d'émouvant à tenir entre ses mains ce qui sera sans doute le dernier roman publié du vivant d'un auteur. henry bauchau, 97 ans, ne change pas; il continue de graviter autour des thèmes qui lui sont chers, et qui ont alimenté son oeuvre et sa vie. ne me demandez pas une
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Littérature, BD & Poésie
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Aujourd'hui, chiffonnette et fashion lancent la seconde édition des harlequinades , événement mondialement connu, reconnu et attendu. le but du jeu est de voir si l'on peut survivre à la lecture d'un harlequin - ou pas. je vous avouerai que ma contribution de l'année dernière m'a laissé des séquelles irrévocables (je ne peux plus lire de r
Qui m'aime me suit
Mes chers amis-lecteurs, vous pouvez me remercier, vous avez échappé au pire; je pensais vous gratifier d'un petit billet personnel ce soir or, en l'écrivant, je me suis rendu compte que c'était outrageusement personnel, et que vous n'en méritiez pas tant.ainsi, faisant preuve d'une auto-censure mise à rude épreuve, je vous épargne mes phra
Il y un an, jour pour jour, je rencontrais ofelia lors d'un pique-nique sur les berges de la garonne.il faisait chaud, terriblement chaud, ce 27 juin-là.entre une blague sur la fin du monde, une méchanceté sur les héroïnes austeniennes et un carrot cake délicieux, on s'est séduites l'une l'autre (c'est beau, n'est-ce pas).depuis, elle a ét
« grands dieux, vous ne pouvez donc jamais agir comme tout le monde ? »
Tante mame de patrick dennis (auntie mame : an irreverent escapade - 1955) flammarion, 2010 (1ère édition française, salvy editeur, 1994)traduction d'alain defossé, 382 pages quelle plaie, la famille. il n'y a vraiment qu'oliver twist pour prétendre qu'il y a des désavantages à être orphelin. c'est un peu ce que doit penser patrick, le narr
Sur une découverte de cette chère cuné , et parce que je n'ai pas le temps de m'occuper de vous ces jours-ci, un lien : dans le web, on ne dit pas... (je reviens dès que possible)
... simple fleur poussantau-delà de l'enclos » (haïku de thierry cazals, cité dans le roman) on est tous plus ou moins engoncés dans des certitudes que l'on ferait bien de tempérer de temps en temps. par exemple, j'étais persuadée que j'aimerais philippe jaenada, le jour où j'ouvrirai enfin un de ses romans. mais en attendant ce jour-là,
Hi, hi, hi
« vous êtes la nouille croustillante dans la salade de la vie »
La passerelle de lorrie moore (a gate at the stairs, 2009) éditions de l'olivier, 2010, 361 pages traduction de laëtitia devaux « la vie était insupportable, et pourtant tout le monde la supportait. » une fois qu'on l'a rencontrée, on peut difficilement oublier esther greenwood ; figurez-vous que je lui ai trouvé un genre de grande sœur, un