Un cap à tenir voiles moirées déployées je me tiens debout pour vaincre le temps et les tristesses assassines maudites félonnes qui toujours étranglent mes pauvres souhaits exangues quand je t'attendais lhanne - janvier 2013

Une suspension, comme un souffle discret un vert et puis une perle un sourire dans le creux de l'âme où étiez-vous ?

Les amours de loin les histoires sublimées ne durent jamais le sublime est beau désiré par deux amants un joli roman le feu brûle ainsi en moi toujours une lave et rien pour l’éteindre c’est une pitié pour nous un buisson ardent il ne se consume mon cœur va avec stupide noyade en mer se perdent les braises lhanne - janvier 2013

Paroles des paroles chantre des pays lointains douce mélopée oreille ravie des il en elle malices aux jeux interdits folie des mots bleus mutins pimentés mutines les heures rieuses folie damassée le temps sera tapissé broderie exquise flamboyant vitrail sur tes lèvres déposé en bleu de chartres duo cadencé tes lèvres baisent mon cou mon s

Complexe, contradictoire et émouvante nature humaine... lhanne - mai 2013

Amère est la mer elle sépare les amants vaste est l'horizon une certitude contre les vents et marées toujours avancer les écueils, qu'importe ! l'évitement est un art ma vie pour apprendre mon temps est compté filent les vents les zéphyrs file plume sur l'eau lhanne - janvier 2013 [oeuvre d'andy goldsworthy]

Si je veux entendre ta voix dans le creux de mes mains et remuer dans le sable mes plus intimes souvenirs si je veux rêver quand la pensée de ton âme effleure la mienne et me perdre dans les mensonges des fleurs si je veux croire que les interdits sont l'antithèse de la vie et t'aimer en oubliant la terre des hommes si je veux repeindre le ciel

Elles sont faciles les filles tout en tendresse sur les bords de mer les radeaux de sable ne suffisent pas aux rires sans toi triste grève puis-je me souffler des espérances si timides pour arrêt de pleurs puis-je croire un jour danses de rire habillées nos espoirs mêlés lh@nne - janvier 2013

Où sont-elles les cendres de mon amour refroidit là dans mon passé les arbres fleurissent gris et muets sont les cieux mon cœur aime seul dites-moi ô anges que dire pour ma défense voyez je suis nue en berne est mon âme il me manque l'essentiel le gosier sec dans le bleu de nuit j'ai trouvé la rédemption ou dans la peinture des anges ailes

Je ne suis plus ici ni là bas je suis le verre transparent de l’ampoule dont tu as fait cesser la brillance du filament la simple idée du vent dans la cime des hauts arbres je n’en suis plus que l’idée. tout à l’heure tu détenais encore mes plus belles tendresses dans le creux de tes paumes ouvertes et tu m’as laissé glisser hors to