À maria del pilar, ma grand-mère elles flottent encore impasse madrilèneles effluves sucrées de mes jeudis d’antantoutes ces joies cachées dessous les draps de laineaux murs improvisés des cabanes d’enfant ils résonnent les pavés impasse madrilènemaillard et chat perché battent le caniveaula ruelle s’anime de nos courses ancienneset