Jour ou plutôt nuit d'une fête nationale.le passage à une nouvelle année.en une seconde , l'anniversaire du calendrier.le temps roule, la terre tourne.les gens du dehors habillés de paillettes, noir de costar, rouge cinéma, chants d'opéras champagne et danses apocalyptiques.toutes les soirées singulières et identiques, dans une attente com
blondeau diane
blondeau diane
Ses blogs
Articles :
15
Depuis :
27/12/2009
Categorie :
Mode, Art & Design
Articles à découvrir
L’art corporel des années 70 jaillit, le spectre ne souligne qu’une seule couleur, le trait se lit et se délit, la langue verte de la maladie. radiologie. rien de sensuel dans la courbe et ce long couloir …pourtant tenir l’intérieur d’un soi et de rendre l’intime à celui qui l’attrape. stop plus de possibilités. déceler la névr
A henri, paradoxalement elle est faite de métaux un monument des mémoires mis à nu. le métal s’installe et laisse place à l’or. il brille ce n’est pas son foie mais son féminin. le cuivre la carapace pour rouler et non crouler sur les boulons ronds du vent. le plomb la rend légère, la liberté de gratter une nouvelle lumière, une nou
Après les fêtes.obligation, contradiction, on fait semblant.là retombe comme une enclume, elle se brise.les sourires au sol, les cheveux perdus, une goutte, deux gouttes, trois gouttes, ils pleurent.chacun, au fond de l'être a peur.après les fêtes.elle est là,la dame bleue froid.elle ressort après s'être endormi.chacun console à sa gauche
L’inspiration se suffirait à elle-même, mais elle n’est qu’un subterfuge. on y croit, on la sert contre soi. la peur envahie, le doute se cerne de noir, mais il ne faut pas se l’approprier. elle n’appartient à personne. elle passe parfois lors d’un vent froid. seul suffisent la volonté et l’envie. elles l’ont remplacé petit à
Elle porte un nom hors du commun, ce début de phrase…, la narration, le roman traditionnel.mais elle porte un nom hors du commun pour une occidentale.avec une pincée d’orient, son nom colle parfaitement à sa chevelure noire .elle jongle avec les mots et avec un caractère.le cri, son cri dépasse le langage, on ne se questionne plus sur le c
Assise, plus ou moins immobile.le bar populaire.le soleil claque, les bâches relevées.on se connaît tous de vus sur ces terrasses du dimanche.on se regarde. un regard frontal parfois.une esquisse de sous rires.on se dévisage, des visages sérieux, des visages sévères, des visages vitrés, rieurs, abîmés.en coin et de cotés. la personne seu
Étrange, cette personne.ce pouvoir pour voir.l'attente, la patience, le regard des autres.comme sur la pointe des pieds parcourant cette courbe.un verre de rouge, encore lui qui relis.l'eau trouble dans la bouteille.on ne la jette pas, on l'avale, d'une gorgée sèche et rapide.tromperie illusion ou réalitée pure.je de l'autre...sans l'oublier.t
Jeu du jeu de dé, dès qu’elle arrive, comment t’en séparer ? je dirais dé à 7 chiffres comme une option, trouve alors la solution….dire le mot n’est pas facile. l’espèce mâle ne cesse de jongler avec. la femme se laisse entraîner, la laisse du chien s’accroche à son cou. nymphe devenue nymphomane, elle ne sait que choisir. elle
1er jour : je suis lumière, empreinte dans un temps qui passe. je ne cesse de me balancer et me bercer à ce rythme ternaire.2e jour : elle est lumière et m’observe. elle change et se transforme en transportant ses objets.ses objets ne sont plus lumière mais couleur en totale transformation3e jour : je suis couleur et je me suis perdue4e jour