Ils sont morts. foudroyés à leur tour. le peuple de france qui durant trois jours retint son souffle est enfin à autorisé à respirer. l’affaire fut rondement menée sous la houlette du valeureux et guerroyant monarque et de son grand chambellan. point à la ligne. demain dimanche, le même peuple est convié à exprimer son unité sur les pa

« un jeu sans fin » powers richard (actes sud) roman « subjuguant » qui parfois donna au vieux lecteur l’impression de retrouver quelques-unes des œuvres qui « illuminèrent » ses années d’adolescence. les errances sur les océans de l’autre hémisphère, le sud. les rencontres avec des cultures ignorées par l’enseignement officiel

« haute-folie » wauters antoine (gallimard) une déception. une déception dans la mesure où faisant foi à la critique rencontrée dans les pages du quotidien de référence le vieux lecteur avait transféré vers l’ecrivain belge de hautes espérances littéraires. au bout du compte, il a le sentiment de s’être immergé dans un texte somm

« la realidad » sinno neige (p.o.l.) le vieux lecteur peine à se faire sa place dans la proximité de neige sinno. aussi bien dans ce roman-ci que dans le précédent (triste tigre). sans qu’il soit en mesure de fournir une explication rationnelle à cette incapacité qu’il veut cependant assumer. le mexique. pays avec lequel neige sinno ent

« la manif » alard nelly (gallimard) nelly alard aurait-elle écrit son roman de même manière et dans la même tonalité si elle avait eu connaissance des récentes révélations sur le comportement des forces de « l’ordre » lors de manifestations pacifiques ? le vieux lecteur se pose la question, non pour mettre en doute la sincérité de

Ça n’est même plus une agonie. ce sont les derniers râles de la moribonde. la 5° est morte. vive la 6° ? mais quelle 6° ? devant la dépouille, la bête immonde rugit de plaisir. macron lui offre le pouvoir sur un plateau d’argent. cet enarchiant sans conscience qui avait promis en ces premiers instants d’hystérie oratoire de faire bar

« et vous passerez comme des vents fous » arnaud clara (actes sud) par bien des aspects, voilà un roman qui chez le vieux lecteur a souvent réveillé le souvenir de certaines des œuvres de jean giono. un même amour de la montagne, même si l’ecrivain né à manosque traitait le plus souvent des alpes provençales, alors que clara arnaud ins

« le jardin sur la mer » rodoreda mercè (zulma) un roman publié en 1967. mais qui, aux yeux du vieux lecteur, n’a pas pris une ride. bien qu’il ait dû attendre l’avant-dernier mois de l’année 2025 pour faire connaissance avec mercè rodoreda, romancière catalane, (décédée en 1983). ce qui paraît indiquer que les editeurs de langu