Le carnage se poursuit. dans une indifférence quasi généralisée. voilà quelques jours de cela, les barbares israéliens ont massacré quelques dizaines de personnes lors du bombardement d’une zone humanitaire à gaza. des barbares qui invoquent toujours, au lendemain de leurs crimes, leur nécessité d’éradiquer des leaders du hamas. tuez

« l’opposé de la blancheur » miano léonora (seuil) les quelques rares rencontres du vieux lecteur avec léonora miano l’ont par le passé contraint à d’intenses et fructueuses réflexions puis contraint à certaines remises en cause d’un mode de pensée gravé en lui par le système social dans lequel il naquit et au sein duquel il aur

« au bon vieux temps de dieu » barry sebastian (joëlle losfeld) trop facile, si lâche et inconséquent de confiner ce roman de l’irlandais sebastian barry dans la catégorie des polars. sous le fallacieux prétexte que le personnage principal, tom kettle, est un ancien flic à la retraite. et qu’il est convié par ses anciens collègues à

Ils ont parlé de la pauvreté. un jour de la semaine écoulée. les médiatouilleurs. des mots chiffons pour donner un coup de propre à leur conscience. un matin de la même semaine, la pauvreté s’est imposée à moi sous les traits d’une gamine. je fais usage du mot gamine pour caractériser cet être si fragile qui effectua un bref passage

« chiennes de garde » de la cerda dahlia (editions du sous-sol) ravageur ! un bouquin dont le vieux lecteur n’est pas sorti intacte. remué, bouleversé, bousculé, renversé. des textes (treize nouvelles) qui se relient ou non entre eux. mais qui tous vous font saisir, entendre, voir ce qu’est la condition des femmes en ce lointain pays qu

L'irruption de l'été.... qui titille le désir de retrouver le village..... de s'y arrêter.... de respirer les odeurs du maquis..... d'emprunter l'un ou l'autre des sentiers..... de s'installer devant les portes du couvent.... de s'imprégner des somptueux paysages de la balagne.... de descendre jusqu'à l'île rousse..... de croiser sur la rout

« et vous passerez comme des vents fous » arnaud clara (actes sud) par bien des aspects, voilà un roman qui chez le vieux lecteur a souvent réveillé le souvenir de certaines des œuvres de jean giono. un même amour de la montagne, même si l’ecrivain né à manosque traitait le plus souvent des alpes provençales, alors que clara arnaud ins

Si j’en crois l’information diffusée sur la radio dite de service public, la vedette politique de la récente fête de l’huma ne fut point le successeur du camarade georges, un certain cadet qui n’a rien à voir avec la gascogne, mais bel et bien le ci-devant dominique galouzeau de villepin (parasol). alors même que le picard y eut à sub

« mes nuits sans bardot » greggio simonetta (albin michel) le vieux lecteur n’avait initialement aucune raison de s’enthousiasmer pour le roman de simonetta greggio. d’une part en raison de relations compliquées avec l’auteure. d’autre part parce que le cinéphile qu’il fut (et qu’il reste dans une moindre mesure) ne fut que de fa