Les moments des repas sont très importants dans la vie en collectivité. ce sont des temps de partage, d’échanges et de convivialité. installés dans le restaurant tout de rose et fuschia décoré, les résidents y découvriront la cuisine d’yves de jacquie et louisa. ils pourront se régaler d’une cuisine familiale, de plats maison compos

Le projet de soins la maison de retraite saint-georges est un e.h.p.a.d. elle assure donc les soins courants et la coordination des autres, son médecin coordinateur est le docteur aleman, son infirmière référente mme gouirand. un psychiatre hospitalier du centre edouard toulouse intervient deux fois par mois sur site et un autre à l’acte une

Personnel salarié l'administration : un directeur générale, une directrice adjointe, un cadre administratif, un comptable, une secrétaire comptable. le médical et para-médical : un médecin coordinateur, un cadre infirmier, des infirmiers, une psycologue, une ergothérapeute, des aides soignants, des aides-médico-psychologiques. la cuisine :

L'établissement est structuré en plusieurs services dont les fonctions et tâches diffèrent suivant leurs spécificités. l'organisation permet d'avoir sur le site du personnel aussi bien les jours de la semaine, les week-ends et les fériés que la nuit.

Le projet de vie la totalité des ressources de la maison de retraite est mise au service de sa vocation première : «un lieu où l’on vient vivre» l’établissement se doit de répondre au mieux à la demande et aux besoins des personnes qui renoncent ou ne peuvent plus vivre à leur domicile. il respecte leur identité, leur histoire personn

Il existe 2 types d'hébergement : chambre individuelle ou chambre double. toutes sont dotées de salles de bains (normes handicapés) et de 2 sonnettes appel urgence (1 à la tête du lit, 1 dans la salle de bain). le mobilier est adapté aux besoins des personnes agées. les superficies ouvrent droit à l'alllocation logement (c.a.f).

L'établissement est dirigé par la même famille depuis 4 générations mais il n’a pas toujours été une maison de retraite. le directeur nous explique : «alexandrine, mon arrière grand-mère, infirmière formée au front, a acheté l’établissement, appelé alors les micoucouliers en 1924, on y accueilait les mutilés de la guerre de 14/1