L'amour, c'est aussi découvrir en écoutant chanter des mots qui sont encore à inventer. jacques salomé
cariatide
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A la lueur des mots
De la plume au clavier, exprimer mes pensées et rendre aux mots leur juste valeur.
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29/09/2007
Categorie :
Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
Apparition irréelledans la nuit noiresous la lumièred'un réverbère. visage noyésous une pluiede ragebalayé par le balletincessant des essuies-glacescrissant contre la vitreet gommant d'un coup de baguette magiquedes traits imparfaits. elle attendvibrant au rythmedes éclairssursautantsous les coupsde tonnerre. la tempête s'éloigneapaisieell
Visez toujours la lune ! même si vous ratez, vous atterrirez parmi les étoiles ! les brown
Dans le sirtaki des pensées, je voyage avec légèreté ...souvenirs d'enfancebaignés d'insouciance ... bulles d'éther,rêves d'aster,rythmés,cadencés,chaotiqueset frénétiques ... de mes racines si lointainesje garde en songe ces cariatidesdont le regard d'océanideme transporte, hors d'haleine ... dans le sirtaki de la vie,je revis,eblouïe
L'amour est cette ombre parfumée qui ne vous quitte jamais. vivre ce lien comme si l'autre était l'ombre vivante de soi et soi l'ombre vivante de l'autre. hafid aggoune ( les avenirs - 2004 )
Déferlante la caresse du soleila fleur de peaules sens en éveilles yeux mi-clostu attends la vaguecelle qui t'enlacequi te roule dans le sablele désir montela tempête grondepuis c'est l'extasela mer se retireil ne reste plus sur la plage qu'un coquillage vide. viviane cozar (2nd prize, adult)
43, boulevard de l'océan ... un perroquet... on entendait un perroquet... je cherchais, je me retournais, scrutant dans les hauteurs des arbres encore verdoyants, ces pins majestueux aux écorces d'ocre et de terre qui bordent nos côtes océanes... pas de battement d'ailes, pas d'oeil perçant, pourtant j'ai l'ouie fine, je suis si sûre de l'exi
Le malamour détruit l'amour comme la malbouffe peut détruire notre santé. jacques salome
Le bonheur ne s'écrit pas, il est comme les étoiles filantes; celui qui ne le voit pas ne le verra jamais. hafid aggoune ( premières heures au paradis - 2008 )