Je me bats, me débats arme à la mainsur mon tissu je tends sans cesse mes filsà petits points je me raccroche, demaintrouver le vrai moment de coudre tranquille mercière où coulent les rivières de boutonsrubans, feutrine, milleraies, soie et cotonje garde en mémoire tes grosses bobinesaux couleurs arc-en-ciel des magazines. mais, aiguille, p
Afondlarime
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04/12/2008
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Littérature, BD & Poésie
Articles à découvrir
D’abord prendre conscience avec sincérité que l’esprit ne fait pas seul notre humanité, mais qu’il lui faut un temps, un espace et un corps pour se nourrir et croître et prendre son essor. . peser l’humilité de ce corps solidaire qui pour nous édifier sait habilement se taire jusqu’à l’heure de l’éveil où nos sens reflètent
Qui es-tu, seigneur, et que veux-tu de moi ? a tes pieds je repose chaque jour et tu vois en moi le champ ouvert de mon cœur esseulé le combat et la peine, la fuite et la piété. . aie pitié de moi, je ne te comprends pas je te cherche, je t’attends, je vis quand tu es là mais dès que tu te tais, le tout humble ignoré, mon cœur inhabitué
Je ne suis pas drôle.c'est quoi ce lyrisme douteuxil faut que je change de rôle,que je me reprenne, ce serait mieux. ce matin ecore je me le répétaisou bien était-ce la voix du slavequi me provoquait!"ce qu'on s'ennuie avec toi, grave" ok, j'avale mon cachet et quitte ma peinepourtant je l'aimais et la hainede jeter des mots choisis sur du pap
Corps tendus dans une position de transe louange, éloge, désarroi m’encensent. l’angoisse de te voir engourdi ma vision hérissé, j’attends troublé : ton apparition. et lorsque surgit en rêve mon obsession ta voix et ton visage ne sont que fiction. et dès lors s’empare de moi l’affolement fruit stérile, discours de mon saisissement
Procession d'entréece n'est pas mon tour, ce n'est pas mon jourpour louer dieu et ses saints, tout l'amour.je profite de l'abandon de libelpour pousser quelques vers, vers l'eternel. sonnet pour nenadla mort est à nos portes, sachons la reconnaîtreelle s'invite dans nos foyers, s'apprête pour renaîtreelle emporte avec elle tant et tant de nos
. tu es l’epoux de l’âme humaine l’epoux de mon âme appuyée et sur ton cœur ma joue me mène immense épaule où reposer . blottie en toi, humble et sereine je veux entière m'y retourner docile en ta main souveraine dans la prière abandonnée . car toi, dans ta folie féconde tu t’es laissé enamourer de cet enfant qui en toi fonde de
. rendre hommage, c'est mon voeu, à l'auteur de ces pages que mes yeux en glissant ont bues, émerveillée, à ces mots assemblés comme sable en rivage qui ouvre à l'infini le pont de sa jetée. . rendre hommage à l'éveil de la pensée sauvage où l'âme ensoleillée révèle sa beauté et s'étire, apaisant au puits de ses passages le désir
Céleste, frêle flûte de boistelle est sa voixlyrique et étoiléeson visage au teint haléil me plaît de la revoirdès que tombe le soirelle m'accorde un regardla lumière de son phareme conseille un cheminn'oublie jamais ma mainvivre avec elle est un poèmeun hymne à une vie blème je me joue de vous tousqui ne voyez sa frimoussecar elle me r
Loin, loin derrière les nuages, il y a ce crile son étouffé de tes pas, tu pars déjàme laissant face contre terre blessée dans la joie je t'appelle, oui, de toute mon âme qui se languit mon coeur, de te savoir disparu, s'endurcitje te fête sans relâche et je rêve d'un monde coiplus fidèle au défilé de mes jours j'octroieparenthèse où