Au fil de mes jours, je n’aurai eu de cesse d’oublier ce qui blesse quand meurent les amours. si peu de nous l’on laisse lorsque luit notre mort, croyant que rien ne presse et que viendra l’aurore. si court est le parcours qu’à peine commencé, ce chemin où je cours aura bientôt cessé. que l’on m’accorde une heure encore, car je n