Quand l'âme peut soupirer enfin inspirer ce doux air aux alentours qui se presse contre la peau autour du cou, des bras, du ventre, des reins sentir ce voile si fin, si aérien qui entoure votre corps et ses contours, qui perd ses armes telle une tour assiéger de toute part par un essaim. wophism
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Foudroie-moi
Des récits pour vous accrocher, vous passionner. Partager avec vous des émotions fortes, des aventures, des textes, des poèmes : tout pour vous foudroyer !
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Hier encore...
Hier encore, j'écrivais ces lignes, et demain peut-être je les finirai...Hier encore est mon recueil de poèmes.
Woph Ism
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Articles à découvrir
J'ai perdu la mémoire j'ai oublié qui j'étais ...j'ai eu du mal à le croire... mais je ne savais en quoi je croyais... il m'a fallut mon miroir pour savoir à quoi je ressemblais cette femme si ronde et noire etait moi...du moins à ce que je voyais. j'ai demandé mon nom à mon armoire l'orgueilleuse faisait comme si elle ne m'entendait je l'a
Avec ta loire te traversant tes eaux sans cesse ruissellant tu es belle et si vieille tu es âgée et si jolie avec tes rues pavées de clodiquant où des voitures et des passants se mêlent et veillent jusqu'au temps de la nuit. tu es bien calme souvent comme un enfant naissant je te fais confiance alors je te traverse quand tout dors osant me tr
Sourie mon ange et je sourirai quand viendra l'hiver le rude hiver de nos amours ta main sera froide et glacé sur les pourtours mais je soufflerai sur elle je la chaufferai d'air lourd j'en enleverai la glace peu importe le fil des jours sourie mon ange et je sourirai quand viendra l'automne le pâle automne de nos rires tes yeux me verront je te
Nous n'étions que des gamins futiles et égoïstes impatients de connaître l'amour de ressentir ses frémissements au creux du ventre nous étions jaloux d'eux, de ces amoureux. nous n'étions que des enfants perdus au milieu de la grande roue étourdis par les vapeurs de rose nous en attendions tant de l'amour nous en espérions trop nous étion
Chapitre 3 cette nuit-là, je la passai à me retourner dans mon lit. je ne parvenais pas à trouver le sommeil, il m’échappait sans cesse. mes pensées vivaces ne me montraient que la scène dans la forêt. ces cheveux roux. cette démarche de lionne. ces yeux si pénétrants. des yeux verts et pénétrants. cette silhouette sculptée dans le m
Je vais donc mourir ici ? il m'avait pourtant semblé que le bleu de cette journée loin des pleurs de regret loin des rires maigrelets avait des airs de bonheur il m'avait pourtant paru dans ces nuages nus voir un éclat présageant des sourires d'enfants une famille au complet qui tous d'un regard niais fixe l'objectif de l'appareil clic! clac! r
Chapitre 2 je fus réveillé par la sonnerie stridente de mon téléphone. je l’attrapai vivement, et découvris qui m’appelait : maman. l’appréhension me crispa les jambes. « allô ? répondis-je. - reviens immédiatement, grogna-t-elle d’emblée. - je ne peux pas maman… - et qu’est-ce qui t’en empêche ? reviens. - je n’en pouva
Je te regardes tu me regardes oh mon dieu, on se regarde.
Cette peur de regarder en arrière de voir à nouveau nos monstrueuses erreurs cette peur s’amuse avec nous, elle nous prend pour ses jouets. elle se sert quand l’envie lui prend, elle jette son venin en fonction de son plaisir. cette peur nous dévisage avec son air moqueur, comme un clown qui attend avec impatience que l’on trébuche. elle