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Doublement primée à cannes dans la section un certain regard (pour le film et pour le chien, je ne rigole pas, d'autant qu'il le mérite amplement (plus que le cabot gilles lellouche)), cette œuvre de guan hu (qui bénéficie de la participation de jia zhangke, c'est pas rien) est une véritable petite merveille... si vous aimez le désert et le
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Fiction ? docu ? on est indéniablement à la frontière entre les deux, même si cette œuvre d'aravindan aux allures de fiction au départ, croit-on (un cirque arrive dans une bourgade - que va-t-il advenir, se dit-on) tend irrémédiablement vers le regard documentaire. pour mettre tout le monde d'accord, et moi le premier, les termes de film-po
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Difficile de résister au déferlement médiatique déclenché par cette série, qui intéresse aussi bien les psys de l'enfance que les cinéphiles purs et durs, les journalistes de c-news et les abonnés de télérama. il faut reconnaître que adolescence ne manque pas d'ambition et que, à défaut de m'avoir complètement convaincu, elle a au mo
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Le grillon de fin d'été il n'y a rien que tu puisses me dire que tu ne m'aies pas dit tout au long de la matinée. je sais que tu es seule. moi aussi. et que même si tu chantes et que tu chantes pour l'amour, ta solitude parvient à te rendre heureuse. il en est de même pour moi. tu sens l'odeur de la pluie comme moi, et le crépitement des pre
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Livre : le festival de cannes ou le temps perdu de santiago h. amigorena - 2025
Amigorena revient sur ses quarante ans de festival ; du festival, et en particulier des films présentés alors, on n'apprendra absolument rien ; ou alors que des bribes, que de l'aspect ultra-superficiel de la chose : les hôtels cannois, la montée des marches, les fêtes incontournables qui s'enchainent jusqu'à l'aube, la galère des accrédita
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On n'a pas toujours été très tendre avec l'ami ridley en ces colonnes. il faut reconnaître tout de même que, une trentaine d'années plus tard, thelma & louise tient toujours diablement de la route (avant la sortie de piste finale ? ttttt petits cachottiers). c'est une œuvre, indéniablement, qui ouvre une brèche pre-metoo : un homme violent
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Serie : bref - saison 2 - de bruno muschio et kyan khojandi - 2025
From une vie de grosse merde et de branleur égoïste à la sérénité du couple et la promesse d'enfants - produit par disney + et tf1, on se dit que les auteurs ont un peu vendu leur âme au diable : ce que bien sûr ils réfutent, ouvrant d'ailleurs la série sur quelques cris d'orgasme en gros plan (attention, on ose !) - ok, mais on ne pousse
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Voilà un film qui devrait consterner shang, avec son scénario aussi crédible que le retour de la gauche et son jeu d'acteurs proche du zéro absolu. bien que moins demandeur de crédibilité que mon compère quand il s'agit de film d'horreur, je suis bien forcé de reconnaître que trop c'est trop : non seulement le scénario de longlegs est un
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Livre : la fin d'une liaison (the end of the affair) de graham greene - 1951
"elle nous aime tous les deux, pensai-je, mais s'il doit surgir un conflit entre une image et un homme, je sais qui en sortira vainqueur. je peux poser ma main sur la cuisse de sarah ou ma bouche sur ses seins ; lui, est emprisonné derrière l'autel et ne peut pas bouger pour venir plaider sa cause". toujours un vrai plaisir que de retrouver l'ami
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Les temps où chabrol était un fin observateur des bassesses de la bourgeoisie provinciale et réalisait des mises en scène d'une belle ambiguïté sont passés en 1987, si on en croit en tout cas ce masques aussi épais qu'amateur. on dirait même qu'il se "mockyse" un peu dans sa vison de la société, et se laisse aller à une paresse assez g