P rimo, derrière ce quelque peu fantastique et peu connu portrait de 1999 n’y aurait-il pas encore une fois, au départ, l’incontournable trait d’union entre maints artistes de sa connaissance qu’incarna tout naturellement lucien henry ? car existe une autre photographie plus ancienne de louis pons par hcb – nettement moins intéressante

R oger desponds et tous les membres de sa famille faisaient partie des figures familières de montjustin où ils étaient arrivés dans les années soixante par d'autres suisses, nelle et milo blanchet, ce dernier étant un ancien contadourien ami de lucien jacques. comme le monde est petit, la mémé fiorio, mère du peintre, se souvenait très bi

Thyde monnier q ui se souvient de thyde monnier ? « mais nous ! » s’exclame d’enthousiasme le critique littéraire alain lanavère [1] . mathilde anna rose monnier – née le 23 juin 1887 à marseille et décédée le 18 janvier 1967 à nice – fut en effet une écrivaine fort célèbre de son vivant. deux mariages ratés l’avaient laiss

Jacques antoine était l'un des deux éditeurs, l'autre étant gérard oberlé, qui séjournaient parfois à montjustin chez leurs amis les mogin. c'est chez lui que parut le recueil de contes de noël l'orgue sauvage de lucienne ainsi que sa préface à plaisir des météores ou le livre des douze mois, de marie gevers dont voici un court extrait

Eugène martel par serge fiorio. deux textes écrits à plusieurs années de distance. t oujours, quand je retrouve l'image d'eugène martel dans ma mémoire, je pense à clémenceau. même silhouette ramassée, même acuité du regard. chez eugène martel elle était frappante et, quand on le connaissait mieux, elle témoignait bien de sa rigueur

S ur le point de terminer la passionnante lecture des 620 pages bien tassées du vox par vox paru ces jours-ci aux éditions de l'échappée, je ne résiste pas à en extraire et à citer ici in extenso un magistral article du créateur des rencontres de lure concernant, parmi tant d'autres qui furent les siens dans le monde du livre, son principal

C elui que pierre assouline, son biographe, baptisa si justement l’œil du siècle en regard de la diversité et des qualités propres à son œuvre de photographe n'était pourtant pas dépourvu – ce qui est moins connu du grand public – d'un tout autre, et non des moindres, talent artistique : le dessin au crayon ; moyen entre tous des plus

C 'est dans le numéro 222 du magazine littéraire de septembre 1985 que je viens de tomber sur un article de « cet écrivain, souvent ignoré de ses pairs, homme d'enthousiasmes et de colère, mais tout autant homme de réflexion, réservé et secret » que fut louis calaferte. article certes sorti de ma mémoire, mais que j'ai plaisir à réactu

Ps : les fautes de typographie n'étant pas de moi, mais du journal ! vox 1

J e viens de lire quelques lignes signées d'une certaine françoise besson, galeriste lyonnaise, qui m'ont fait plus que plaisir : « je me tourne vers des propositions plus proches au coût nettement plus raisonnable, ou différentes. je soutiens d’autres moyens de diffusion de l’art, comme la création d’une artothèque dans un hôpital pa