Sur un toit de vent que t’est le bouclier de tes seins quand ma flèche t’abat comme un vautour l’haleine des grands bois dépouille le dieu neuf et me voici nomade libre des défroques empruntées chargé du legs sans partage j’arrive primitif du fond de moi-même que dis-tu du beau nu dans l’arène la mer n’englobe cet élan près de
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la sociologie de la vie
ce blog contient les beaux textes de verdino, des auteurs haitiens et les grands tenons de la poesie du monde. c'est la sociologie de la vie, des mots pour traduire les maux de la vie, la poesie de la nature, le chant des oiseaux, changement social
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Littérature, BD & Poésie
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Sa sa ye sa? gen yon bon ti van kap vante zorey mwen li fèm sonje plezi ti plim poul li fèm vle transfome kisa sa ye sa? waw! epa se te vwaw ti doudou. mwen santi yon bagay sou do mwen li soti depi dèyè tèt mwen lap glise desann ayyy! li dous m’anvi vole kisa sa ye la? kèt! se pa se menw. mwen santi bouch mwen dous mwen pa sot bwè siwo my
Map karesew, fèw dous jis lanmou rive baw sekous, toufounenw, souse plim jew jis marengwen pawòl mwen yo rive mòdew fè zegwi lesprim pikew, pikew jis nan zo rale fresiw ak sansi jiskaskew redui zo ak po. mwen pa vin pou maryaj mwen sèlman anvi pran 2 nwaj. nous se 2 kretyen vivan diferan, ou pa ka vle poun gouye menm jan. fòk zetwal jwenn sy
Ma ville dance, un pas en avant, deux pas en arriere, elle s’avance, elle dance à contre-sens, suspendu dans la corde de l’existence, elle balance. est-ce la folie ou l’ignorance ? ou du moins sa joie qui est si immense ? elle passe et repasse ses pas, elle ne dance, ni le compas, ni le raras, sous la musique des fines pluies abattant sur so
Si l’été est pluvieux et morne si le ciel voile l’étang d’une paupière de nuage si la palme se dénoue en haillons si les arbres sont d’orgueil et noirs dans le vent et la brume si le vent rabat vers la savane un lambeau de chant funèbre si l’ombre s’accroupit autour du foyer éteint si une voilure d’ailes sauvages emporte l’î
Je t’aime tu m’aimes il est jaloux nous nous aimons vous êtes amis ils nous divisent
Continue la ballade, cette allée mène à la cité de l’amour, ecoute la voix de ton cœur, elle te guidera, passe par la barrière de ma poésie, tu verras graver ton image sur le mur de ma vie. je ne cite pas ton nom mais, je le cache derrière les virgules, derrières les points ouvre la porte de mes mots, passe dans le couloir de mes vers et