Vivre intensement, le coeur battant, dans l'étreinte, sans contrainte, pour le meilleur, sans douleur, pour un court instant, ou pour plus longtemps vivre avec partage sans aucun gage ou vivre pour soi sans effroi. vivre la détresse, puis plus tard l'allégresse. peu importe ! le plus important, tout simplement, vivre !

Vu au restaurant "au lion indomptable" -paris xxeme

On m'a demandé un jour ce que signifiait pour moi le big bang... il est vrai que cette notion a diverges interprétations. en ce jour dominical, je vous livre ma vision dans le style haïku. peindre le ciel d'une vive main d'éclair tel un doux nabi. bon dimanche à tous !

Quand le doute s'installe, le coeur s'emballe, et satan se régalle!

Vois-tu cette barque ? hé bien, nous irons tous dans la même ! oui, tous ensemble avec nos problèmes ! car nous serons logés au même barème. et, je ne pense pas qu’il faille penser qu’à soi même. pourquoi deviens- tu blême ? non, il n’y aura pas de stratagèmes. et c’est inutile de me passer de la crème, et encore moins de faire t

Dans les défis du samedi, il fallait imaginer la suite des quatre premiers vers du poème d'andré breton. voici ce que cela m'a inspiré. pourquoi ce thème ? je n'en sais rien.. peut être est-ce du à l'ambiance universelle du moment. enfin, vous verrez par vous même ! " dans le salon de madame des ricochets les miroirs sont en grains de rosé

Enfin, j'ose ! je me lance officiellement, disons vers un plus large public. le site au feminin.com vient de mettre en ligne ma nouvelle, "debbie et ses 1000 vies" : hé oui, les gens ne sont pas forcément ce que l'on croit qu'ils sont.... votez pour moi si cela vous plait.......

Mercredi dernier, j'ai eu le privilège de rencontrer michel bussi , en petit comité et autour d'un verre de vin dans l'ancien hôtel particulier de la marquise de pompadour rénové en une cave à vin, " o château" situé dans le 1er arrondissement de paris. de sa normandie natale, michel bussi avait emmené dans sa valise son dernier roman "n'o

L'homme dévaste tout les fleuves se rebellent voilà l'homme en pleure

J'ai écris ce texte, il y a fort longtemps pour une amie qui était despérée. son histoire, son expérience est (je pense) universelle. mama disait : « souvent l’eau qui éteint la flamme vient du dehors ». l’obscurité se présente, dur est l’attente, mon cœur se serre, je ne sais plus que faire. mama disait : « souvent l’eau qui é