Il était une fois, dans le vieux quartier ouest du far-west, un petit garçon dont le veston était rouge. on l’appelait donc le petit chaperon rouge. un jour sa mère lui demanda d’apporter des médicaments à sa mère-grand malade. le petit chaperon rouge quitta donc sa maison pour aller à l’autre bout de la ville. le vieux quartier ouest
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écrit-vin anonyme
Lis-tes-ratures, ces drôles de jeux de maux, qui donnent des mots de tête... Boire les mots c'est tout un art, en devenir dépendant, et c'est trop tard. Mélanger l'abstrait et le concret, lire des poèmes enchanteurs, des écrits fabuleux…
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Une histoire de chaperon rouge
Vous en avez pas marre des histoires de petit chaperon rouge qui se finissent toujours bien? Bien des auteurs on reprit le célèbre conte de Perrault, mais mes versions diffèrent légèrement des leurs.
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Photo-graphe anonyme
Cliché d'un poète, photographe amateur, qui aime la nature, les détails, le chaos, qui aime ce que l'on ne voit qu'à travers les photos.
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Articles à découvrir
Il était une fois, dans un de mes cauchemars, une drôle d’histoire. j’étais une petite fille dont la veste était rouge. ma mère m’avait demandé d’apporter des médicaments à ma mère-grand malade. j’allais jusqu'à la forêt où je rencontrai un loup féroce. il me demanda de faire la course jusqu'à la maison de ma mère-grand et
Mon oncle qui, le regard éteint, scrutez l’air face à vous et le flou de vos pupilles… qu’attendez vous ? assis sur une pierre, les genoux sous les coudes, vous écoutez votre ouïe, n’entendez rien et n’en avez conscience. vous confiez à votre concentration un devoir d’introspection ; celle-ci, plus que jamais, connaît la distracti
Je vois sur moi crouler des nuées de corbeaux. leur griffes dans mon cou, dans mon torse leur bec, chacun, son tour venu, se nourrit de mon être. de mes mots, nul ne fait quelconque métaphore. je deviens fou, je crois, et surtout je le vois. je sens la joie terrible et les jubilants maux. un enfer qu’enjolive un iris de poète, et l’eden que
Si pour les stoïciens les siècles ne sont rien que l’écho d’un instant ; pour les parménidiens le mouvement n’est rien que la scission du vent ; pour démocritéens la bêtise n’est rien qu’horizon permanent ; mon pauvre monde humain alors, qui ne vaut rien, assèche-toi le sang. … ri héraclitéen ! même ton pleur, un temps subit
Une vache aussi peut pleurer pour information: ce n'est ni un caillou, ni un ventre démesuré que cette araignée transporte, mais évidement ses œufs.
Vois ! il pleut la neige, il neige la pluie la goutte en flocon métamorphosée. voici donc l’idée qui naît à ma pensée : demain au balcon quand fuira la nuit plutôt qu’un buisson, je verrai fantôme. mais un doux fantôme, un comme l’enfant amusant la peur, caché de draps blanc. spectre souriant qui quitte l’automne. c’est le temps
Sortie à l'étang, mais cette fois ci, la nuit. en fait des libellulles qu'on était venu chercher à l'aube de leur vie, c'est tout un orchestre de grenouille qui nous accueillit. je serai les grenouilles, je me ferais du soucis, car un félin rode près du domicile.
Il était une fois, il y a très longtemps, dans les confins de l’espace, sur une planète éloigné, un petit extraterrestre rouge qui vivait seul sur sa petite planète. un jour il alla rendre visite à sa mère grand malade qui habitait seul, elle aussi, sur une planète isolé et éloigné. il traversa le centre étoile de la galaxie urbaine
Que fais-tu donc ainsi ? mais qu’es-tu devenu ?pourquoi parmi le flot d’oiseau fade et brailleur,ne contemple-tu plus ceux qui semble d’ailleurs ?les allures de fées ne sont-elles donc pluscelles qui d’un regard foudroyaient ton iris ;et d’un battement d’aile au battement de cœurremaniaient ton esprit en onde sans torpeur ?cet eden in