Après un petit déjeuner composé de soupe, riz, champignons, poisson, algues, haricots verts et omelette, qui surprend mais ne déstabilise pas maël, "trop de verdure pour un petit déj' ", discussion avec une jeune fille de l’auberge qui parle anglais. elle nous demande notre circuit, où nous habitons en france. elle a visité paris l’ann

Nous sommes depuis hier à kyoto. nous gérons nos déplacements aux petits-oignons, réservations de train, les connections, tout "fingers in the nose". a peine le temps d'être dubitatif face aux caractères kanjis, hiraganas ou katakanas. bon là on frime un tantinet car hier soir au moment de débloquer les vélos que nous avions laissés dans

Bon, on va essayer d'éviter les clichés façon soirée du mardi "connaissances du monde" au cinéma "l'eden", mais ce vendredi a été pour le moins sur le thème "japon, terre de contrastes". d'abord akihabara, electric town. les magasins d'électronique se mélangent aux boutiques de figurines de mangas, aux magasins de jeux vidéos, c'est le p

La gestion des jr pass et de la réservation des places de shinkansen pour aller à kyoto nous ayant pris trop de temps, nous arrivons trop tard au marché aux poissons de tsukiji. les touristes japonais et étrangers prennent d’assaut les échoppes à sushis, il est un peu trop tôt pour déjeuner, nous filons au quartier de asakusa voir le sanc

Jusqu’ici, un sans faute : sans suivre les guides, à une exception près sur le chemin de la philosophie, nous choisissons les restaurants au feeling et nous avons tout bon. c’est bon, parfumé, frais. a croire que nous avons découvert la martingale du pèlerin sur les chemins du japon culinaire, celle qui nous fait éviter le restaurant à t

Après les 15km à pied d'hier nous avons décidé de passer une matinée cooooooooooooool, synonyme de chacun fait ce qui lui plait plait, à l'appartement. c'est l'occasion de vous faire un tour du propriétaire. l'appartement est situé rua das alamos, 22. c'est une impasse pentue qui prend sur calçada de saude , une rue non moins pentue au des

Le voyage se termine. le réveil à l’hôtel new kamakura confirme l’impression de bizarrerie de la veille : le seul employé que nous verrons est celui de la baraque décatie du parking payant. petit déjeuner dans un bistrot derrière les voies tenu par deux japonais soignés d’une cinquantaine d’années. encore une fois la bande son est

Ce mercredi lever à 6 heures. n’ayant pas dormi, sujets variés avariés dans la tête, la mise en train est pour le moins semouleuse ou coltardesque. cela tombe mal, car nous avons à jongler avec les transports pour rejoindre les contreforts des alpes japonaises. 15 mn à pied avec les sacs, trop compliqué de commander un taxi, de lui expliqu

Tokyo se mérite. après 22 heures de voyage depuis vannes nous sommes dans notre petit hotel du nord ouest de tokyo. l'avion avait 1h30 de retard à roissy. en montant dans l'avion j'ai pu constater les capacités d'anticipation et d'adaptation de mon fils aux situations de crise. nos places sont à la rangée 23, places d et e, milieu de l'appare

Le réveil est difficile. les enfants se couchent un peu tard depuis quelques jours et leur motivation pour "la grande ballade" n'a jamais été probante. petit déjeuner dans le jardin, début des négociations, regard suppliant derrière un rideau de cheveux : "papa... pourquoi tu veux la faire aujourd'hui cette ballade ? " = le grand. 5 minutes