Extrait du discours prononcé le 10 novembre 1848 par victor hugo devant l’assemblée nationale « personne plus que moi, messieurs, n’est pénétré de la nécessité, de l’urgente nécessité d’alléger le budget. j’ai déjà voté et continuerai de voter la plupart des réductions proposées, à l’exception de celles qui me paraîtra