Le corps étendu, je contemplais les lumières étourdies, qui s'agitaient devant mes paupières presque closes. l'âme pensive, je sentais s'animer les lucioles que ma peau frôlait. - mélancolique - mes tympans exécutèrent une lente mélodie au rythme sincère dont le refrain court, et, les couplets penseurs, dansent. une lente mélodie, étou
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La spirale pensive
Faites une pause dans le temps.
Laissez vous guider sur le chemin d'une balade poétique, au grès de vos pensées oubliez les limites de la réalité. Savourez donc ces précieux instants rêveurs dissipant les gris nuages de votre esprit.
VanissaB
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16/03/2016
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Littérature, BD & Poésie
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Alors l'univers me parlait a l'oreille et je l'écoutais, a contre sens sur l'oreiller je me sentais seule, exister. ainsi, la lumière me revint. tel un lointain instinct, vif, ma plume s'est réveillée, vivante et impatiente, enjouée. je me sentais ; comme dans le passé dont le futur était arrivé, enfin.
Et lors de nos moments sombres, le soeil brille nous montrant le chemin d'une vie qui pétille. laissons notre esprit s'échapper sauvagement, laissons notre esprit se perdre totalement dans l'abîme du soleil couchant de l'été, laissons nos yeux hébétés, dévorer ce met contemplons ces couleurs aux saveurs agitées, les formes des nuages tout
J'ai atteint, le coeur galopant et décidé la prunelle ciel de son regard dilaté, douce. encore brûlante de timidité, réservée. encore indécise, agitée. le désespoir m'attendait, confiant, souriait. l'attente, se moquait de moi, ricanait. l'espoir, seule m'a laissée désespérer. le destin aux airs mystérieux, m'a chuchoté: "l'amour sai
J'adresse ces vers à mon âme possédée. a jamais, les démons la hantent de l'humanité ; malédiction, chance ? cela reste secret. enfermée, captive de la vie, elle se tait. du fond de mon esprit, elle écoute, fait le guet ; a la recherche depuis toujours, de l'objet a glisser dans la serrure de ses souhaits: la clé de la liberté. le droit
Mais la nature sait faire valoir ses droits. elle a su durant des milliards, triompher. seule, face à l'inébranlable evolution, meilleure amie du temps, maternelle prospère. terre océanique, emplie de profondeurs. terre enflammée, souffles colériques incendiaires. terre de nacre, aux températures gelées. terre verdoyante, à son troisième
Louanges dans l'air frais matinal je marche, vers ce qui me semble être la lueur étoilée de ses yeux. autels de paix et d'amour. - puretés - il me semblait y apercevoir parfois les rayons de sa bonté, dansants. puis lorsque je me penchais pour écouter les murmures de son âme, je me délectais de cet être. magnifique, jardin sacré. - divin
Quelque chose se meut au large. scintillante, pâle et difforme, légère. elle semble chercher comment dominer l’inébranlable horizon. guidée par le vent soupirant et les humeurs des flots, celle-ci franchit rêveusement la ligne imperceptible sur la fine soie liquide. alors, un brouillard l'enveloppe, l’entraînant vers des terres irrévél
L'homme, cet enfant roi gâté par la nature, victime de ses caprices. esclave de sa nature en omet l'évidence qui le maintient ici. arrivé démuni de son esprit, formaté. mais qui eu songé à lui dire l'évidente simplicité de la création divine ? mais qui aurait pu lui expliquer que sa venue n'est pas une banalité ? mais plutôt une néces
(je vous invite à lire ce quatrain avec attention et également plusieurs intonations, car ceci est toute la clé de celui-ci ...) là, dans un autre monde vit vent soufflant, nu l'amour saint et immortel. un enfant, jeune et insouciant; avide d'aimer.