La vie en rose règle 72b : quand on est fantaisiste, c’est partout et tout le temps.

Regarde les hommes tombés aujourd’hui se termine sanja matsura, une fête qui met en transe tout le quartier d’asakusa pendant 3 jours chaque année. bon, pour les non initiés, c’est surtout des gens qui mangent et qui boivent dans la rue, en attendant l’arrivée d’un autel transbahuté à dos d’hommes (et de femmes) et suivi par des

La carte et le territoire n’allez pas croire qu’un plan peut toujours vous sauver. parfois c’est pire !

Anneau nuptial a 7h35 tapantes, le soleil avait rendez-vous avec la lune, et cette fois ci, ils ne se sont pas ratés ! une éclipse “sugoiiiii” de l’avis des spécialistes rassemblés sur le trottoir.

Par ici la sortie… en attendant, je ne suis pas trop triste d’avoir à contredire ce cher baudelaire, une fois n’est pas coutume : “amer savoir celui qu’on tire du voyage! le monde monotone et petit aujourd’huihier, demain, toujours, nous fait voir notre imageune oasis d’horreur dans un désert d’ennui !” ah charles, si tu avais c

Trois couleurs : rouge il n’y avait pas de carton, mais je suis sûr que c’est là un “japonicus patienticus”, mort d’avoir attendu qu’un feu cassé passe au vert. même à deux heures du matin, dans une rue vide, sous des trombes d’eau, ici on ne traverse que quand le feu chantonne (oui oui, les feux chantonnent, et c’est charmant)

L’accroche coeur on l’aura compris, les deux passions des japonais sont les trains et les parapluies. normal que ça fasse des étincelles quand on réunit les deux !

Sens fiction se promener à tokyo, c’est en somme marcher toute la journée dans un collage devenu réalité.

Terrain minet parapluie, train, mais jamais deux sans trois, j’allais oublier les chats ! pourquoi et comment ces trois là se sont retrouvés au milieu de ginza, sous les flashes des photographes en transes, encore un mystère qui restera entier.

Rangés des voitures l’avantage de la retraite, c’est qu’on peut aller jouer au croquet avec les copains sous l’autoroute !