Les vacances ne durant qu'une semaine, il a fallu concentrer un peu les visites. je ne vous épargnerai donc pas celle de chaumont, et espère que vous ne vous en plaindrez pas, car la réputation de son festival international des jardins ne doit rien au hasard.
{chaumont sur loire : un peu de château, beaucoup de jardin !}
celui-ci a lieu du prin
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La Ligne 13
Quelques pensées parisiennes d'une voyageuse de la ligne 13 qui aimerait un jour avoir un jardin au bord de la mer.
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12/02/2012
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Maison, Déco & Bricolage
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Du pays basque, je ne connaissais qu'hendaye, en plein mois de décembre, où mon entreprise nous envoyait en séminaire une semaine par an, cloitrés dans les bungalows d'un centre de vacances fermé à cette date. et aussi, vaguement, ces fêtes bayonnaises pendant lesquelles on faisait courir des vachettes désorientées, excitées par des homme
C'est quelque chose que l'on fait rarement, du moins n'en avais-je que peu fait l'expérience, qui est de donner aux étapes de vacances une attention appuyée. sur la route qui menait au pays basque, s'offraient de nombreuses alternatives, calées sur le temps de conduite, le réseau autoroutier, les centres d'intérêt, la curiosité, bref, le d
Que restera-t-il de novembre cette année ? d'instinct, peut-être une envie de se pelotonner en ronronnant dans les bras ouatés de la brume des jours rétrécis. a moins que ce spleen si particulier aux saisons qui se meurent ne nous afflige. tout est question de contexte et d'état d'esprit sans doute.
{le monde de perrine tripier, jeune auteure
Avril aura décidément eu très mauvais caractère cette année, ou beaucoup de chagrin, c'est selon, car ses larmes auront accompagné toutes mes escapades provinciales avec une constance qui relève de l'acharnement. mais une rencontre familiale tant de fois reportée et enfin gravée dans les agendas respectifs aura eu raison de ses ronchonnade
Ce printemps que l'on attendait si fort et de plus en plus intensément au fil des ans, semblait rester bloqué en deçà d'une ligne imaginaire qui aurait coupé la france en deux. chaque matin depuis plusieurs semaines déjà, on ouvrait ses volets avec le secret espoir d'une lueur, d'une tiédeur, d'un petit quelque chose qui donnerait envie de
Imaginez un village-fleur, un village où les plantes auraient pris le pouvoir, mine de rien, sortant des jardins privés par les interstices de leurs portails, rasant les murs pour mieux s'y agripper, ourlant les bas côtés (de trottoirs, point !) en guirlandes embaumées, festonnant les pas de portes et conquérant les fenêtres. vous êtes à c
La course du temps nous a fait nous précipiter un peu brusquement dans la saison des pluies. si j'évoquais paresseusement dans mon dernier billet tout le folklore automnal qu'on se persuade de tant aimer retrouver, je ne pensais pas le plongeon aussi rapide. mais voilà, c'est octobre, bientôt novembre, et je m'amuse à adopter pour ces jours fr
Fera-t-il soleil lorsque vous commencerez la lecture de ce billet ? alors peut-être n'aurez-vous pas envie de vous asseoir pour lire quelques lignes qui vous parlent du mauvais temps... sinon, partons ensemble pour un petit tour d'horizon du mois passé. les roses du jardin maternel ne se sont pas plaintes, tout au plus ont-elles pour les plus fra
La porte qui donnait sur la rue claironnante, fourmillante et multicolore vient de se refermer. celle qui ouvrait sur le ciel plus bleu que bleu, l'oranger odorant et le figuier fantasque, également. deux portes donc, qui s'ouvriront désormais sur d'autres gens, d'autres histoires. ce modeste immeuble, un vrai décor à la marcel carné, sis dans